Ses œuvres sont exécutées aux États-Unis et à l’international, dans des salles telles que le Helsinki Music Centre, le Wigmore Hall de Londres, le Carnégie Hall de New York... Les interprètent de sa musique sont notamment le Philharmonique d’Helsinki, l’American Composers Orchestra, le Britten-Pears Contemporary Ensemble…
Adrift, est sa première œuvre pour orchestre (voir detail notice).
Plus récemment, Chiappetta a achevé Circle Limit, pour violoncelle à l’attention de Rainer Eudeikis de l’Utah Symphony, et This is no less curious pour piano.
À ce jour, son œuvre a été reconnue par l’ASCAP (2010 Morton Gould Young Composer Award), l’Académie Américaine des Arts et Lettres (Bourse Charles Ives 2011), et l’Institut de Musique de Cleveland (Prix Donald Erb 2011). En 2012, il reçoit le Prix Fulbright décerné par le Département d’état des États-Unis, et séjourne à Londres en 3ème cycle Fullbright à la Guildhall School of Music and Drama.
Chiappetta est diplômé du Cleveland Institute of Music, de la Guildhall School of Music and Drama, et de l’Université Cornell. Ces principaux professeurs ont été Julian Anderson, Steven Stucky et Keith Fitch. Il a également pris part à des ateliers et à des cours dirigés par Kaija Saariaho, Oliver Knussen, Michael Gandolfi et Derek Bermel, entre autres. En mars 2012, il a participé à l’atelier de formation professionnelle du Weill Music Institute du Carnegie Hall conduit par Kaija Saariaho et le violoncelliste Anssi Karttunen, dont la première de son trio à cordes Loops, Clocks, and Shadows au Zankel Hall. En 2016, Chiappetta est titulaire d’une bourse universitaire de composition Patricia Plum Wylde au Tanglewood Music Center.
The restless and fluid nature of the music in Adrift tends to keep any real sense of stability out of reach. From the start, this is a piece on the move: always unfolding with a sense of impending arrival. Three distinct types of music emerge: an obsessive ostinato, a warped melody, and an interruptive flourish. Throughout the piece these figures reappear in shattered, stretched, and distilled forms, often layered over each other in varied configurations.
Although Adrift is in one continuous movement, the piece really has two parts. The first part, which is slightly longer, ends with an impassioned melodic statement in the strings that unravels and leads to the only true moment of stasis in the entire piece. The remainder of the work is a compressed misremembering of the previous music, which reorders and distorts gestures from the first part.
Adrift was commissioned with funds from the Saariaho 60th Birthday Fund administered by Chester Music, in celebration of Kaija Saariaho’s 6oth birthday. I dedicate the piece to Kaija, with admiration and gratitude.